Très belle critique du récital du 7 juin 2024 avec Alketa Cela :
Critiques presse du disque "Mélodies" avec Hervé Joulain, cor, chez Tixart
http://www.klassik-heute.de/4daction/www_medien_einzeln?id=23298
https://www.musicvoice.it/il-corno-nella-musica-cameristica/
"L’on sait le talent de Liszt pour mettre tout un orchestre dans le coffre d’un piano, et l’on sait également combien l’orchestre de Berlioz, orchestrateur de génie (ce que Liszt n’était pas), est luxuriant, dense et fluide à la fois. C’est dire l’abondance de la partie piano d’Harold en Italie S. 472 de Liszt qui parvient à restituer la diversité de l’instrumentation originale, qui une flûte, un hautbois ou le cor anglais dans laSérénade, qui un cor ou une trompette, la harpe ou les timbales, tandis que la partie d’alto reste en son état initial. Pierre Lenert, premier Alto Super Soliste de l’Opéra de Paris depuis l’âge de 19 ans, a donné de son bel instrument Vuillaume de 1865 une interprétation de sa partie onirique et évocatrice, se fondant avec souplesse au piano-orchestre déployé avec une justesse stupéfiante et une maîtrise éblouissante par sa complice Ariane Jacob, qui a donné à l’Orgie des Brigands finale une force et une exaltation sonore impressionnantes"
Bruno Serrou, Festival Berlioz (27 août 2015)
Le Dauphiné libéré
« Hier, à l’église, avec la “Grande sonate” de Paganini, Pierre Lenert et la pianiste Ariane Jacob entamaient de magnifique manière un concert “Sur les routes de l’Italie”. Une
œuvre initialement composée pour grande viole, nécessitant de l’altiste une grande virtuosité. Un enchantement qui se poursuivait avec deux “Caprices” et la “Sonate pour Napoléon” du compositeur
italien, puis le “Harold en Italie” de Berlioz transcrit par Liszt. Des œuvres jouées avec maîtrise et sensibilité. »
(vendredi 28 août 2015)
La Lettre du Musicien
« Parallèlement à l’exposition « Monet, l’œil impressionniste », le musée Marmottan a offert un concert composé des trois ultimes sonates de Debussy, servies par des chambristes de premier ordre. Au piano, Ariane Jacob accompagne tour à tour le violoncelliste Marc Coppey et le violoniste Olivier Charlier.
Et si l’on aime cette Sonate pour violoncelle en demi-teintes, d’un impressionnisme ici fort à propos, l’on apprécie plus encore la Sonate pour violon, à laquelle les deux partenaires donnent une âme, une vivacité rarement exprimées chez le dernier Debussy »
Jérôme-Henri Cailleux (Janvier 2009)
Nice Matin
« Nous avons écouté avec un plaisir extrême la pianiste Ariane Jacob, qui est la grâce même dans sa personne et son jeu »
André Peyregne (Août 2008)
ConcertoNet.com
« Le Second quatuor avec piano (1886) de Fauré ramène la sérénité: Allegro molto moderato fluide et ardent, Scherzo farouche, Adagio non troppo simple et intériorisé, Allegro molto final puissant et plein d’élan – les musiciennes de l’Orchestre Philharmonique de Radio-France associées à la pianiste Ariane Jacob s’imposent de façon tout à fait convaincante »
Simon Corley (Décembre 2007)
Lyon Capitale
« Les notes fusent délicieusement sous les doigts d’Ariane Jacob et un piano fabuleux de bout en bout » (Novembre 2004)
Le Figaro
« La délicate Ariane Jacob et l’énergique Raphaële Sémézis au violoncelle jouent des œuvres de grands mélodieux : Schubert, Rachmaninov, Mendelssohn ou les merveilleux Oiseaux tristes pour piano solo de Ravel »
Hervé de Saint-Hilaire (Avril 2003)
Le Journal du Dimanche
« Ariane Jacob au piano -excellente interprète- fait merveille » (Avril 2003)
Le Dauphiné Libéré
« Le couple particulièrement complice que forment Ariane Jacob au piano et Philippe Bernold à la flûte, a fait résonner les hautes voûtes de l’église d’une musique d’une grande pureté de jeu » (Juillet 2002)
Vaterland Liechtenstein
« Ariane Jacob a montré ses magnifiques qualités : sa vélocité, son jeu nuancé et son toucher sensible nous ont fortement impressionnés » (Août 2000)
La Montagne
« Savoir se taire pour écouter la maîtrise d’Ariane Jacob au piano… » (Juillet 1998)
Dernières Nouvelles d’Alsace
« Le fin toucher merveilleusement coloré d’Ariane Jacob »
J.J.Scherrer (Septembre 1997)
Ouest-France
« C’était l’harmonie parfaite lors du concert donné mercredi soir : Le public ne s’y est pas trompé, osant à peine respirer pour mieux « vivre de l’intérieur » le fabuleux dialogue entre le violon de Pavel Vernikov, l’alto de Tasso Adamopoulos, le violoncelle de Roland Pidoux et le piano d’Ariane Jacob. Quatre artistes, professeurs et solistes de renommée internationale, et qui chaque année se retrouvent à l’Académie d’été pour communiquer leur technique, leur savoir, leur génie à des musiciens de haut niveau. La virtuosité des musiciens éclate dans l’enceinte de la cathédrale de Sées, exprimant une large palette de sentiments et une émotion profonde » (Juillet 1997)